Dans le silence de mon salon
Loin des bruits de jours de travail
Je me cherche mon Avalon
Le tumulte et le stress s’effacent
La tranquilité gagne du terrain
Je traîne sur ma terrasse
Ma nouvelle solitude m’accompagne
M’aide à voir clair et me soutien
Mais je ne la veux comme compagne
Indispensable à mon bien-être
Je la veux avec modération
Mon regard s’enfuit par la fenêtre
Je m’étire, le weekend se termine
Et le bruit, et le stress et le tumulte
A nouveau prédominent.